En 2015, Daniel Dobre cofonde Sărbătoarea Gustului, une association dédiée à l’éducation alimentaire et à la promotion du goût. Ce projet reflète son engagement pour un monde où chacun, dès l’enfance, peut accéder à une alimentation diversifiée et éco-responsable. Avec des initiatives telles que les « Leçons de Goût », qu’il anime, l’association sensibilise des milliers d’élèves et leurs familles à l’importance de mieux consommer tout en respectant la planète. « La clé d’une vie saine réside dans l’éducation du goût, dès l’enfance. Ainsi, nous agissons à temps, en faisant campagne et en agissant sur le long terme pour le bien de chaque citoyen, pour une meilleure santé, la réduction du gaspillage alimentaire et moins d’empreinte carbone »
Association
Sărbătoarea Gustului
« Bon pour le goût, bon pour la santé, bon pour la planète ». C’est le mantra de Sărbătoarea Gustului, association roumaine fondée en 2015 et engagée dans la promotion d’une alimentation saine, diversifiée et respectueuse de l’environnement. Sa mission principale est d’éduquer les jeunes générations (et leurs parents) aux valeurs du goût et de les sensibiliser aux enjeux écologiques liés à la consommation alimentaire. Soutenue par le Ministère de l’Education roumain et par la Fondation Auchan, Sărbătoarea Gustului a mis en place des programmes éducatifs, qui toucheront plus de 185 000 élèves en 2024-2025, à travers notamment la distribution d’une brochure pédagogique. Les « Leçons de Goût », dispensées directement dans les classes par le chef Daniel Dobre, président de l’association, vont permettre de promouvoir l’excellence dans le métier de cuisinier et les gestes contre le gaspillage alimentaire. Sărbătoarea Gustului a également mis à disposition des bibliothèques de plus de 6000 écoles, le livre « L’Art de bien manger bio » du Chef Alain Alexanian, qui propose des conseils concrets sur ce qu’implique une cuisine saine, tant en termes d’aliments que de méthodes de préparation. Car, comme l’explique ce dernier, soutien de l’association : « Nous sommes la première génération à connaître l’impact de nos choix alimentaires et la dernière à pouvoir agir »
